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[Le texte ci-dessous est le récit original telque presenté en 2005 par le parent. Il reflète bien l'état d'esprit et le climat de l'époque de l'accaprement des enfants SEKE par la justice Belge. NDLR]

Scandale en Belgique :  La justice Belge a pris en otage quatre
                                             enfants de la famille SEKE.

Depuis le 03/06/2004, la justice belge retient en otage quatre enfants de la famille SEKE, d'origine congolais immigrée en Belgique,  pour obliger les parents à renoncer au procès contre ceux qui ont utilisé leur fils aîné comme cobaye en médecine à leur insu et à renoncer à leur travail c'est à dire à l'entreprise qu'ils ont créée pour qu'ils soient contraints d'aller demander l'aide sociale.

Que la gravité des faits ne vous rendent pas  incrédule. Aussi incroyable que cela puisse paraître, ces actes odieux et inacceptables sont commis  par les juges de liège (Belgique), au grand mépris des règles du droit et de la justice.

Utiliser des enfants comme moyen de chantage est inadmissible.

Pourquoi une telle méchanceté gratuite à l'égard de cette famille vis à vis de laquelle la Belgique se comporte comme s'ils seraient des bêtes de somme destinées à la capture et la destruction? 

Pour comprendre pourquoi la Belgique en est arrivé à prendre en otage les enfants SEKE , La tribune est donnée aux parents pour relater les faits :

Notre seul crime est d'avoir présenté au juge KINET les preuves médicales que notre fils n'est pas malade et qu'il est capable d'apprendre contrairement à ce qu'avait prétendu l'école  et le Dr Denis

Tout a commencé quand nous avons découvert que l'école de Castor et le Dr Denis de CRE ont délibérément privé notre fils Harold d'instruction au sein de l'école le rendant ainsi analphabète.

Pour couvrir leur acte discriminatoire et préjudiciable à l'encontre  de notre fils, l'école et le Dr Denis  de CRE , appuyées par les autorités liégeoises, nous dirent, sans l'ombre d'une preuve médicale, que pour eux notre fils  souffrirait d'un handicap qui le rendrait  incapable d'apprendre. Le Dr Denis dira même  ignorer  le nom et la nature de cet handicap.

Cette  thèse ne nous a pas semblé crédible.

Nous décidons de nous occuper  nous - même de l'instruction d' Harold à la maison. Après des mois et des mois de patience,  des heures et des heures de travail, Harold parvient à apprendre à compter et calculer. Harold est donc capable d'apprendre contrairement à ce qu'avaient prétendu l'école  et le Dr Denis.

Qu'est ce qui s'est passé  à l'école de Castor :

L'école et le Dr Denis n'ont pas voulu  trouver le temps et la patience nécessaire pour s'occuper de notre fils et l'ont laissé pour compte à l'école. Pour se déresponsabiliser, elles font passer la lenteur d'Harold en  handicap  insurmontable.

Pourquoi cet acte discriminatoire  à l'égards de notre fils  pour lequel aucun programme individuel n'a jamais été élaboré.

Au lieu de tenir compte du résultat positif obtenu par la famille, les autorités liégeoises chercheront à étouffer la révélation qu' Harold est capable d'apprendre. Contre toute logique, elles voudront nous faire admettre que notre fils est handicapé alors qu'il ne l'est pas du tout  et qu'il est en bonne santé.

Face à notre résistance légitime de réclamer  justice en faveur de notre fils contre la volonté des autorités liégeoises (belges)  d'étouffer toutes ces affaires,  et

surtout quand les autorités liégeoises ont compris que nous étions décidé à consulter  des experts Français au sujet d'Harold,  en dehors de liège,

A l'instar du maître qui veut punir celui qui à ses yeux doit demeurer son éternel esclave, les autorités liégeoises nous traînèrent sans aucun motif légal  devant le tribunal de la jeunesse de liège présidé par le juge KINET en relançant  le complot qui avait déjà échoué  en 1998.

Ce complot vise à nous retirer Harold pour nous empêcher de prouver aux yeux de tous sa capacité  d'apprendre. Comme ils n'ont pas voulu s'occuper de notre fils, ils veulent nous empêcher de s'en occuper. Car ils savent que dès que nous nous en occupons, il sera manifeste qu'ils se sont livrés  volontairement à la discrimination au sein de l'école.  

Le juge KINET entre publiquement en scène au mois d'octobre 2002

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Or notre fils a passé beaucoup d' examens médicaux en Belgique qui n'ont révélé aucun problème de santé mentale ni physique.

 

Nous avons constaté que Harold est très très lent à l'apprentissage. Il lui faut consacrer énormément de temps et se montrer patient pour qu'il apprenne très peu. Cela n'a rien d'étonnant si l'on sait que Harold est d'une nature lente. Cette dernière s'est répercuté sur son mécanisme d'apprentissage . Harold est capable d'apprendre mais à son rythme.

Cette discrimination est d'autant inexplicable qu'il s'agit d'une école spéciale  où  chaque élève est suivie sur base d'un programme individuel en fonction de sa situation particulière conformément à la mission légale des écoles spéciales.

 

En fait les autorités liégeoises  nous demandent d'accepter et de laisser que notre fils continue à être traité en handicapé et donc demeuré analphabète alors qu'il n'est ni malade ni handicapé et qu'il est capable d'apprendre.

Jugez en vous même:

Quel parent accepterait il un tel contrat ?

Outre l'analphabétisme volontaire de notre fils, sa sécurité  n'était  plus garantie à l'école :

  • Il a eu un doigt coupé à l'école avec un couteau de cuisine

  • Un clou de deux centimètre a été planté dans son oreille à l'école sans qu'aucune autorité liégeoise n'en ait été choqué ni même cherché à faire cesser ces injustices?

 

C'est là que l'impensable  arriva: notre fils est fait cobaye en médecine

Le juge KINET a fait hospitaliser Harold, pourtant en bonne santé, pour qu'il serve de  cobaye au DR THIRI qui devait le rendre malade afin de fournir au juge KINET de  fausse preuve en vue de nous condamner dans le cadre du complot.

Pour ce faire, le juge KINET n'a pas appliqué la loi mais l'a adaptée selon ses propres dire et ceux de Me Sauvage.                                                       

 

Grâce à notre vigilance  et  à la conscience d'un médecin d'Anvers travaillant dans la même clinique que le Dr THIRI, le piège orchestré par le juge KINET  a été démasqué et déjoué.

Nous étions étonnés d'apprendre que le juge et le docteur s'intéressaient plutôt à l' esprit d'Harold.

 

Une fois  l'entourloupe judiciaire du juge KINET déjoué, l' oppression s'intensifie contre notre famille :

 L'oppression contre notre famille n'a rien épargné :

  • Le message est  passé dans les  écoles de nos autres enfants  qui, à leurs tours, firent l'objet de maltraitance à l'école de la part des institutrices directement.

  • Notre fils de sept ans Nathan a été maltraité, discriminé  par son institutrice durant toute l'année scolaire 2002-2003.   

  • Le 28 août 2003 notre deuxième fils Mathias, âgé de 16 ans en ce jour, un garçon très brillant et sans histoire, est sorti pour s'acheter des Baskets en vue de sa rentrée scolaire et n'est plus jamais rentré au domicile familiale depuis. Mathias fréquentait une école de Foot Ball depuis l'année dernière c'est à dire  2002-2003. 
     

  • Notre magasin, la maison du Kwanga ouvert le 12 octobre 2002 peu avant l'audience du juge KINET   est devenu la cible prioritaire des autorités belges.

    Elles nous obligeaient  par le canal du CPAS de liège à fermer notre petite entreprise, démarrée à partir des petites économies familiales sans contracter le moindre emprunt, et à aller demander l'aide sociale.

    A deux reprises, en octobre 2003 et en janvier 2004, les décisions arbitraires du CPAS de liège ont été soumis à l'appréciation de la 10ème chambre du tribunal de travail de liège qui, à l'instar du juge KINET, refusa de rendre justice et nous menaça par lettre recommandée du 18 mai 2004 d'accepter de nous plier devant ces décisions arbitraires qui violaient manifestement des droits  garanties par la constitution belge.

    Cette lettre émanant du cabinet du procureur du roi de liège, nous reprocha aussi de nous abriter derrière la loi

 

 

 

 

 

 

Nous en avons informé l'échevin d'instruction de la ville de liège et les inspecteurs. Personne n'a levé le petit doigt.

 

Même dans cette douloureuse circonstance les autorités liégeoises n'eurent point de scrupule. Quand nous informèrent la police de liège de la piste que nous avons découverte à l'école de Mathias, elle nous interdit de ne plus  jamais remettre le pied à l'école et de ne plus continuer nos investigations autour de celle-ci.

 

C'était le règne de l'arbitraire .

imaginez que vous soyez convoqués par une assistante sociale et que vous lui dites : madame la loi m'accorde tel droit. Et qu'elle vous réponde:

ici dans notre service , ce n'est pas la loi.

Quelle serait votre réaction ?

Notre réaction a été de lui dire madame si ce n'est pas la loi, c'est quoi alors ? et de nous en aller.

Et  la  réaction des juges liégeois : impunité.

 

S'appuyer sur la loi est devenu répréhensible en Belgique.  

 

Vers la fin du mois de mai 2004, nous répondions par écrit à cette nouvelle menace du parquet en demandant que justice soit respectée.

Ce qui irrita profondément les autorités liégeoises (belges) qui envoyèrent  sans motif légal  le 03 juin 2004  une quinzaine de policiers à notre domicile.

Les policiers comme des chiens enragées :

  • s'emparèrent de force de nos enfants  sans aucune raison légale et les emmenèrent à une destination inconnue .

  • nous embarquèrent arbitrairement  , sous insultes et menaces, à leur poste et une partie d'entre eux resta seule dans notre habitation.

  • prirent  des preuves contre les autorités liégeoises  en notre possession et dépouillèrent notre habitation des objets des grandes valeurs à notre absence.     

Ce jeudi 03 juin 2004, nous avons  été interrogé dans des pièces séparées de 9h45 environ jusqu'à 1 heure du matin sans interruption et surtout sans savoir précisément la raison légale pour laquelle nous étions conduit manu militari au poste de police à tel enseigne que vers 22h00
nous avons demandé au commissaire qui dirigeait cette inquisition, de nous dire qu'est ce qui nous était reproché.  

Au commissaire de nous répondre :

  • "nous vous reprochons votre  attitude. vous ne faites des choses que quand c'est prévu par la loi"

  • "pourquoi intentez vous un procès contre le CPAS de liège?"

  • "Le juge JULEMONT voudrait que vous passiez quelques nuits en prison pour  que vous changiez les idées "

  • " D'ailleurs nous ne vous  rendrons vos enfants que si vous renoncez à toutes actions contre nous"

Aux environs de 00h30,le commissaire  de police nous enjoint de nous présenter le 4 juin 2004 à 9h00 pour discuter de l'avenir de nos enfants disait il.

 

Les policiers refusèrent de nous donner les procès verbaux d'audition.

 

Les policiers  nous relâchèrent vers 1h00 du matin du 04 juin 2004 sans savoir où étaient nos enfants.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Notre fils de 4 ans criait "papa, je veux rester avec toi ". La policière qui portait notre petite fille de 2 1/2 ans en rigolait et nous disait : " vous allez voir nous allons montrer à vos enfants autres choses"

Considérez vous même comment les policiers belges promettaient de conditionner nos enfants afin d'altérer leur jugement.

Notre fils de sept ans a été récupéré à partir de l'école par des policiers.

Imaginez vous quel peut être le désarroi d'un enfant de sept ans qui a été déposé à l'école par ses parents et qui est repris en fin de cours par des policiers et qui depuis ce jour n'a plus eu de nouvel de ses parents.

Les policiers nous insultaient et menacés devant nos enfants sans se soucier de leur  impact sur nos enfants.

C'est ainsi que la Belgique maltraite en secret les enfants d'autrui, sans aucune humanité

Est - il permit aux policiers dans l'exercice de leur fonction de dire :

"Toi monsieur SEKE, tu as fait le droit, tu verras au poste. Tu ne veux pas de la justice belge rentrez chez vous! Ne crée pas du travail chez nous, va le créer chez vous".

N'est ce pas là des propos racistes de la bouche des policiers ? Quelle rapport avec une mission de police légale?

Les policiers nous ont clairement dit et fait comprendre qu'ils ne libéreront nos enfants que si nous collaborons avec eux.

Collaborer avec eux signifie se plier à leurs  injustes conditions dont principalement :

  • renoncer au procès contre le CPAS de liège. Ce qui revient à renoncer à notre entreprise

  • renoncer à demander justice contre le juge KINET et ses associés qui ont utilisé notre fils  comme cobaye en médecine à notre insu.

Lorsque, ce matin du 4 juin 2004, après qu'elle ait terminé de nous répéter les même conditions que celles qui nous a été dites à la police, nous avons posé à la conseillère du SAJ la question suivante:

" Mme,  savez vous que les mesures que vous prenez contre nos enfants sont mauvais pour eux."

Elle nous répondit d'un air moqueur :" Nous le savons et  nous allons le faire"

Alors nous lui avons dit : vos conditions sont inadmissibles.

Elle nous répondit: Alors vous passerez devant le juge cet après midi. ( Tout a été planifié d'avance)

C'est ainsi que ,selon une procédure ultra expéditif  digne des états policiers, nous nous retrouvons l'après - midi de ce 04 juin 2004 dans la petite salle d'audience présidée par le juge   A. VANDENBERGH assise en face de nous deux et derrière nous  une section de 5à 7 sept policiers en tirailleurs. Ce qui se tramait dans cet audience était à ce point grave que le juge n'a même pas pu nous regarder  yeux dans les yeux quand elle s'adressait à nous.

Le juge nous dit : Vous savez ce que nous vous demandons. Vous devez retourner au SAJ signer les papiers.

Quand nous  avons voulu demander la parole en guise de notre défense, un des policiers cria d'une voix forte "Taisez vous ".

Le droit de la défense piétiné, bafoué. Et au juge d'ajouter " NOUS VOULONS  LE RETOUR".

" Mme A. VANDENBERGH, qui a donné à qui le premier pour demander en retour.? N'inversons pas le rôle".

A peine commencée à peiné levée, l'audience durera une dizaine de minute. Après l'audience, nous avons été mis dans une pièce gardée par des policiers. Les policiers nous ont fouillés ainsi que nos sacs. Dans les salles en face de nous ça démarchait et débattait ferme. Une heure après la fin de l'audience, un des policiers vient vers nous et nous dit : vous êtes libres mais pensez bien à tout ce nous vous avons dit.

Voilà de quoi a été  capable la matière grise belge face à une famille

Comme il ne faut jamais céder devant n'importe quelle forme de terrorisme, surtout quand des enfants sont injustement impliqués, il est indispensable  de poursuivre le combat dans le respect de la règle du droit et de la justice loin de l'intention meurtrière des autorités belges.

Depuis le 03/06/2004, nous n'avons plus revu nos enfants qui sont entre les mains de gens qui n'ont eu aucun scrupule  à faire de leur grand frère cobaye en médecine pour épargner leur peau.

Les autorités Belges sont allées trop loin dans la négation  du droit. La vraie justice  ne saurait laisser cela impuni.  

Y a t il en Belgique une oreille qui puisse entendre une cause juste?

Que les amis du droit et de la justice, les enfants de paix élèvent leurs voies pour le triomphe de la justice.

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Comment Harold a été fait Cobaye en médecine