| La justice BELGE a pris en otage tous les enfants de la famille SEKE parmi lesquels une petite fille de 2 ans, deux petits garçons de 4ans et 7ans et leur frères aîné Harold.
ET POURQUOI CELA ?
Pour obliger les parents à abandonner toute poursuite en justice en faveur de leur fils aîné Harold. En effet, Harold a été délibérément privé d’instruction par l’école et subit des maltraitances (doigt coupé et clou de 2,5 cm enfoncé dans l’oreille) et Harold a été délibérément fait cobaye en médecine à l’insu des parents au péril de sa vie à l’hôpital d’espérance sur ordre du juge KINE de Liège par le DR THIRRY .
Tout a commencé par une erreur d’orientation scolaire. Harold autonome à 100%, en très bonne santé physique et mental a été orienté à l’âge de 7 ans vers une école d’autiste , n’étant pas lui-même autiste et ce, malgré des multiples protestations des parents auprès de ceux qui l’avaient ainsi orienté.
Durant 5ans de fréquentation scolaire régulière, l’école de Castor au lieu d’instruire Harold elle a utilisé l’autonomie d’Harold au profit des enfants qui n’en avaient pas et lorsque les parents découvrent cela l’école répond aux parents qu’Harold est un enfant « qui serait né analphabète »; Ceci s’est avéré être un gros mensonge lorsque avec l’aide de ses parents Harold fit preuve d’apprentissage devant tous les autorités de l’école de Castor. Les parents demandent à l’école de Castor de travailler main dans la main pour combler les gros lacunes scolaire subit par Harold sur base d’ un programme individuel car la loi le prévoit pour chaque enfant de l’école qui en avait sauf Harold.
Au lieu de collaborer avec l’attitude ô combien compréhensible des parents l’école de Castor refuse de respecter la loi au sujet d’harold et s’arrange avec le parquet de liège pour envoyer les parents en justice.
La justice BELGE en la personne du juge KINET, saisit de cette affaire , en lieu et place de statuer selon le droit, a choisit de voler au secours de l’école, en montant une machination judiciaire visant à exonérer l’école de sa responsabilité pour avoir délibérément refusé d’instruire Harold pendant 5ans de fréquentation scolaire régulière.
Incroyable mais vrai ! la justice Belge use de stratagème et de faux !
La machination judiciaire du juge KINET a consisté à faire passer les parents d’Harold pour des parents maltraitants en faisant croire que la minceur naturelle d’Harold serait dû à une privation de nourriture et pour ce faire, le juge KINET décide d’hospitaliser Harold malgré les preuves médicaux attestant la bonne santé d’Harold. Par de méthodes médicales dangereuses le docteur THIRRY fait grossir Harold de 15 kilos en moins d’un mois au péril de la vie de l’enfant.
Ainsi de cette façon barbare et perfide la justice Belge avait prévu d’utiliser la maigreur d’Harold pour faire passer les parents d’Harold pour des parents maltraitants afin de leur retirer Harold et ainsi le problème du refus de son instruction serait à jamais éludé mais coup de théâtre un médecin flamande qui n’était pas dans le coup avec le DR THIRRY avait remis aux parents les résultats des examens qui indiquaient clairement que le métabolisme d’Harold était incapable de retenir de la graisse . C’est pourquoi Harold ne peut pas grossir naturellement. Pour le faire grossir à tout prix ils ont fait d’Harold l’objet d’une expérimentation médicale au péril de sa vie .
Une fois que l’entourloupe du juge KINET a été déjoué l’oppression s’est intensifié contre tous les membres de la Famille SEKE:
Nathan âgé de 7ans a été maltraité au sein de son établissement scolaire,
Mathias âgé de 16 ans disparaît en 2003,
L’entreprise familiale « Maison du kwanga » est détruite et les enfants sont tous pris en otage en 2004.
Cherchant par tous les moyens à étouffer les violations du droit auxquelles elles se sont livrés, les autorités judiciaire Liégeoises ont récemment (mars- mai 2009) mis arbitrairement en prison puis relâché le père SEKE qui refuse de céder à l’oppression.
Amis du droit et de la justice élevons nos voix contre l’utilisation des enfants comme moyen de chantage en justice afin que les autorités judiciaire de Liège respectent le droit, libèrent les enfants qu’elles retiennent en otage sans motif valable et réparent les préjudices commis. |
