Harold utilisé comme cobaye par la médecine belge avec la complicité du juge KINET pour condamner faussement les parents.
b. Harold examiné par des médecins Belges
C. Harold est orienté à l'école spéciale par le Dr Denis
D. Aucun progrès scolaire au bout de cinq année d'école
E. Les parents apportent la preuve qu'Harold est capable d'apprendre.
F. Les parents proposent leur collaboration à l'école.
G. L'école et le Dr Denis refusent d'admettre leur erreur et complotent contre les parents.
H. D'autres services de l'état belge volent au secours de l'école de castor et du CRE.
I. Harold change d'école et la situation s'empire
J. Un clou de deux cm planté à l'oreille d'Harold et son doigt coupé.
K. Les parents continuent d'insister sur l'instruction d'Harold
L. Le juge KINET livre Harold pour servir de cobaye au Dr THIRI.
M. Le juge KINET n'a pas appliqué la loi mais l'a adaptée
N. Le Dr THIRI se sert d'Harold comme cobaye au service du juge.
Q. Malgré l'échec, une ultime tentative de garder Harold à l'Hôpital
Tout a commencé quand nous avons découvert que l'école de Castor et le Dr Denis de CRE ont délibérément privé notre fils Harold d'instruction au sein de l'école le rendant ainsi analphabète.
La maman expose :
Harold est issu d'une famille de cinq enfants dont il est l'aîné. Concernant sa naissance, Harold n'a jamais respecté la date prévue par les médecins, il s'est permis de prendre deux semaine de retard et une nuit entière à faire attendre les sages femmes. Ce matin là du 7 janvier 1985 à 8h50 lorsque Harold est venu au monde, j'ignorai jusqu'à cet instant combien la naissance d'un enfant pouvait procurer autant de bonheur. Aujourd'hui je sais que la naissance de chaque enfant reste un événement unique parce que chaque enfant est unique. Harold fut un bébé très beau, très grand surtout très solide. En effet, il n'a jamais connu ou présenté des problèmes de santé. Harold est resté fidèle à sa cadence, il a fait ses premiers pas à trois ans et est devenu complètement autonome, c'est à dire ne mouille plus, se brosse les dents, s'habille seul à l'âge de quatre ans et demi mais monsieur a pris à nouveau son temps pour ne commencer à articuler qu'à l'âge de quatre et demi. Entre temps, nous avons consulté tellement des médecins qui avaient tous la même conclusion: Harold est un petit paresseux, tout va bien. Au vu de ce flagrant retard de langage, Harold intègre une institution privée durant deux années entière en RDCongo, où l'on ne s'occupait essentiellement que du problème de son langage. Il n'était pas encore question de le scolariser mais de l'aider à acquérir un bon langage. Harold a un très bon appétit. Harold est très très mince. Harold est très autonome. Il parle en prononçant difficilement certains mots. Harold n'a jamais été scolarisé dans une école normale. Harold a une santé de fer. C'est ce Harold décrit ci - haut qui voyage pour la Belgique avec sa famille le 2 -11-1992. Il a sept ans et son jeune frère Mathias a six ans. Haut de ce cadre rubrique suivante: Harold examiné par des médecins Belges Retour à la vue générale |
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A son arrivé en Belgique, Harold passe son premier bilan de santé fin décembre - début janvier à l'hôpital de Mongodine à Dinant qui ne décèle aucun problème de santé. Comme la famille allait s'installer à liège, l' équipe médicale de Mongodine transfère le dossier médicale d'Harold au docteur de DENIS du CRE, pour son orientation scolaire. Vers la fin mars 1993, je me présente avec Harold à la consultation au CRE auprès du docteur DENIS. Cette dernière nous propose de faire passer Harold des examens médicaux approfondies pour être fixer son état de santé physique et mentale avant son orientation scolaire. C'est ainsi que dans le courant de 1993, avec notre accord, Harold est hospitalisé à l'hôpital de la citadelle pour passer des examens approfondies et complètes sur son état de santé mentale et physique par une équipe pluridisciplinaire sous la direction du docteur DUBRU. A l'issu de ces examens les résultats ont été les mêmes comme par le passé: Harold est en très bonne santé physique et mentale; L'extrême maigreur d'Harold était naturelle. Le Dr Denis a reçu directement sa copie du Dr DUBRU. Haut de ce cadre rubrique suivante: Harold est orienté à l'école spéciale Retour à la vue générale |
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Avant le mois de septembre 1993, nous nous présentons à nouveau au CRE chez le docteur DENIS pour l'orientation scolaire d'Harold. Le docteur DENIS nous informe qu' ils ont trouvé l'école qui convient à Harold et l'y ont déjà inscrit, sans toute fois préciser qu'il s'agissait d'une école spéciale. Elle nous donne l'adresse de cette école. A la rentrée scolaire 1993-1994, j'accompagne Harold pour la première fois à son école. J'étais étonné de voir qu'il s'agit d'une école pour enfant handicapé mentale, doublé, de forte dysfonctionnement motrice. Ce qui n'était visiblement pas le cas de notre fils Harold. Tout de suite je suis repartis voir le docteur DENIS de CRE pour lui faire remarquer qu'Harold n'avait pas les genres de problèmes que présentaient les enfants que j'ai vu à l'école de Castor dirigé par Mme PONDANT et assisté par Mme DELNAY. C'est alors que le docteur DENIS s'empresse de me rassurer en m'expliquant qu'il s'agissait d'une école spéciale où Harold serait suivi sur base d'un programme individuel pour rattraper son retard de langage tout en étant scolarisé. Que des séances de logopédie étaient prévues à partir de l'école; Et surtout ma situation, c'est à dire je venais d'arriver en Belgique, le séjour était très précaire,mon revenu était l'aide sociale, c'est ce qu'il y a de mieux à faire d'autant plus qu'en Belgique l'école est obligatoire dès l'âge de 6 ans, ajouta le Dr Denis. C'est ainsi qu'Harold se retrouva dans la communauté des écoles spéciales de Belgique. Haut de ce cadre rubrique suivante Pas de progrès scolaire au bout de 5 ans Retour à la vue générale |
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Après cinq ans de fréquentation régulière à l'école de Castor, les résultats scolaires d'Harold était nuls. Aucun progrès, Harold ne sait ni lire ni écrire ni compter mais l'école dit qu'il aide les autres à s'habiller. Nous avons demandé à l'école de Castor de nous expliquer pourquoi Harold ne faisait aucun progrès à l'école. L'école nous renvoie chez le docteur DENIS qui avait orienté Harold car d'après l'école Harold souffrirait d'un grave handicap selon le dossier d'inscription soumis à l'école par le Docteur DENIS. Nous leur avons demandé de nommer ce grave handicap ou de le décrire mais l'école est restée muette. Nous sommes partis revoir le docteur DENIS pour clarifier la situation d'Harold. Le Docteur Denis nous dit " n'attendez pas qu'Harold aille un jour dans une école normale. Il a un handicap qui l'empêche de lire, d'écrire , de compter ". Nous lui demandons le nom de cet handicap. Le docteur DENIS répond qu'elle ignore elle - même la nature de cette handicap. Devrons nous rappeler qu'Harold a été examiné pendant un mois par l'équipe du DR DUBRU et aucune maladie mentale ni physique n'a été trouvé en lui. En outre, l'école de Castor et le docteur DENIS ont attendu cinq ans pour parler de ce mystérieux handicap aux parents Comme l'école prétend qu'Harold ne peut ni lire ni compter ni calculer, nous sommes en droit de nous poser la question suivante: que faisait - il à l'école pendant ces cinq années. La loi sur les écoles spéciales en communauté française de Belgique prévoit qu'un programme individuel doit être établi pour chaque élève en fonction de sa situation particulière. Dès lors, nous avons demandé à voir le programme individuel d'Harold. Aucun programme individuel n'a jamais été établi pour Harold. Harold était laissé pour compte à l'école et soumis à la servitude vis-à-vis des autres élèves. Pourquoi cette discrimination à son égard? Au lieu d'être instruit, Harold était là pour aider les autres enfants qui eux étaient réellement handicapés à s'habiller parce que Harold était autonome. Haut de ce cadre rubrique suivante: Harold est capable apprendre Retour à la vue générale |
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E. Les parents apportent la preuve qu'Harold peut compter et calculer. |
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Nous sommes en 1998, entre temps, la famille s'est agrandie depuis 1996, Harold a deux petits frères Mathias, dont la scolarité est excellente et Nathan. Le séjour s'est amélioré, la situation est passé de l'ordre de quitter le territoire à la carte orange. A l'information qu'Harold ne pourrait jamais apprendre, la famille s'est organisée pour s'occuper elle-même de l' instruction d'Harold. Après un travail assidûment patient et à la surprise générale, Harold est capable d'apprendre; il a assimilé le comptage, l'addition et la soustraction jusqu'à vingt. Forts, et surtout contents, de cette révélation, nous allons un lundi matin pour en faire part à l'école dans l'espoir de travailler avec qu'elle dans cette direction. L'institutrice d'Harold le met tout de suite à l'épreuve. Harold compte et écrit jusqu'à vingt au tableau. L'institutrice va appeler la directrice Mme PONDANT et l'assistante sociale de l'école Mme DELNAY. Harold refait la même démonstration devant toutes les trois. Elles disent qu'Harold compte mais ne se représente pas ce qu'il compte. Mon époux dit à l'institutrice de dire à Harold d'aller chercher cinq crayons et Harold est allé chercher cinq crayon. Elle lui dit ensuite de retrancher trois crayons et de les lui donner et Harold exécute. Elles n'en revenaient pas toutes. J'étais tellement content de voir qu'après des heures, des jours d'apprentissage à la maison que Harold est capable d'apprendre. Ce qui, bien évidement, contredît la thèse de l'école et de CRE selon laquelle Harold aurait un Handicape qui l'empêcherait d'apprendre. Haut de ce cadre rubrique suivant Les parents proposent leur collaboration Retour à la vue générale |
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La directrice nous a convié dans son bureau. J'ai tout de suite fait comprendre à la directrice qu'il conviendrait que nous travaillons ensemble pour améliorer l'instruction d'Harold qui à 12 ans est analphabète. Je lui ai rappelé aussi qu'elles m'avaient dit qu'Harold n'apprendrait jamais et pourtant Harold vient de démontrer le contraire. Alors permettez nous,chère madame, d'expliquer à l'institutrice comment nous nous sommes pris avec lui à la maison pour avoir ce résultat. Nous lui avons expliqué que Harold était trop trop lent pour assimiler très peu et qu'il a fallu lui consacrer énormément de temps et être patient pour qu'il assimile. Dans tout ça, ce qui compte est que Harold est capable d' apprendre. Nous lui avons aussi demandé à ce que l'école établisse le programme individuel pour Harold axé sur le comptage, le calcul de base, la lecture et l'écriture. Nous avons beaucoup insisté auprès de la directrice pour que nous soyons associés au processus d'apprentissage d'Harold. Nous sommes quitté ce lundi là en très bon termes. Haut de ce cadre rubrique suivante: L'école , le Dr Denis refusent complotent Retour à la vue générale |
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G. Leur réaction à la révélation que Harold est capable d'apprendre : L'école et le Dr Denis refusent d'admettre leur erreur et complotent contre les parents. Les autres services s'y mêlent. |
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Le vendredi de la même semaine,où nous nous étions convenus mon mari est allé chercher Harold à la sortie de classe. A l'entré de l'école,Mme PONANT, la directrice, l'accoste avec un air méfiant et lui dit qu'il y a un gros problème avec Harold. Ils ont découvert, par hasard lors d'une visite médicale non programmée et ignorée des parents, une grande plaie béante sur le ventre d'Harold et qu'elles l'ont conduit d'urgence à la clinique d'espérance à Montégné. Et comme par hasard, cette clinique héberge des enfants maltraités. Mon mari est revenu me chercher à la maison et nous nous sommes rendus à l'hôpital indiqué. La directrice, l'institutrice et l'assistance sociale de l'école y étaient et aucun signe d'Harold dans le parage. Une porte s'ouvrit et un monsieur de grande taille, le docteur HAINAUT, chef et doyen du service pédiatrique, nous invite, mon mari et moi à entrer. Harold était couché sur le lit en compagnie d'une infirmière. Le docteur Hainaut est sortie pour parler au trio de l'école. La porte étant ouverte, j'entend le docteur Hainaut leur dire la maigreur d'Harold est naturelle et ancienne. Vous vous êtes alarmés trop tôt. Aucun mot sur la blessure béante. Le docteur Hainaut revient dans la pièce où nous étions et ausculte à nouveau Harold sous nos yeux pour dire que sa maigreur était naturelle et qu'il n'y a pas lieu de le garder à l'hôpital. Remarquez que depuis plus de cinq ans, la maigreur d'Harold ne leur avait posé aucun problème. Juste au moment d'assumer leur responsabilité d'avoir laissé Harold sans un instruction pendant cinq ans durant, d'avoir mal orienté Harold dans une école qui ne lui convenait pas, ils tentent sans scrupule d'exploiter cette maigreur contre nous.
Au lieu de prendre en compte le fait qu'Harold est capable d'apprendre et de rédiger un programme individuel conséquent, l'école de Castor et le CRE vont s'endurcir dans leur logique de trouver une faute, fusse imaginaire, dans le chef des parents SEKE au sujet d'Harold pour masquer leur responsabilité d'avoir laissé Harold cinq année durant sans instruction et aussi d'avoir mal orienté Harold dans une école qui ne lui convient pas. Haut de ce cadre rubrique suivante: d'autres services de l'état entrent en scène. Retour à la vue générale |
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H. Malgré l'avis du docteur HAINAUT,d'autres services de l'état belge vole au secours de l'école de castor et du CRE. |
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L'école et le Dr Denis avait déjà saisi le service d'aide à la jeunesse, SAJ en cycle, de la communauté française de Belgique au sujet de la maigreur d'Harold question mettre davantage pressions sur nous et de jeter un discrédit dans notre chef. L'école prétend au SAJ, sans l'ombre d'une preuve, que nous priverions Harold de nourriture pour le forcer à apprendre à la maison, Harold n'aurait qu'un pot de yogourt pour nourriture à la maison. Il mette en cause notre méthode éducative qui incluraient des punitions éventuelles, sans l'ombre d'une preuve. Entre temps, elles nous disaient que nous donnions trop de tartiner, par ailleurs bien garni, à Harold pour manger à l'école. Toutes les écoles de nos enfants n'ont jamais eu à reprocher les tartines de nos enfants ni leurs tenues vestimentaires ni leurs effets scolaires. Mme PIQUARD, assistante sociale du SAJ, instruit cette affaire pendant presque deux ans. Les parents étaient convoqués ça et là. Les policiers, les inspecteurs, assistantes sociales contrôlaient les contenus du frigo, les provisions de la famille, une oppression permanente. En ce moment le message qu'ils nous passait était « si vous insistez sur l'instruction d'Harold nous établirons que vous êtes des parents maltraitant , et ce de façon purement arbitraire». Pendant toute la duré de l'enquête de Mme PIQUARD, il nous était difficile d'enseigner HAROLD à la maison ni même d'intervenir auprès de l'école et du CRE. Mme PIQUARD a bouclé son enquête vers la fin 1999 et a conclu qu'il n'y avait aucune maltraitance dans la famille SEKE. Le SAJ n'a adressé aucune directive à l'école au sujet de l'instruction d'Harold. Bien que l'enquête de PIQUARD fut officiellement terminée, des fonctionnaires de l'état belge passaient à la maison pour nous faire admettre que notre fils souffrirait d'un handicap. Nous refusions toujours de signer leurs papiers et réclamions justice en faveur d'Harold. Par précaution, nous avons pris la résolution de faire passer à Harold un bilan de santé une fois l'an dans le service pédiatrique du CHU de Liège dirigé par le Docteur CHANTRAINE qui s'en est occupé personnellement Haut de ce cadre rubrique suivante la situation s'empire dans la nouvelle école Retour à la vue générale |
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En 2001, Harold est toujours analphabète, les parents insistent de nouveau pour qu'on fasse quelque chose pour l'instruction d'Harold. Le Dr Denis et l'école de Castor décident de changer Harold d'école et l'inscrivent à l'école spéciale de Pommier dirigé par M. THEO V. Ce que le CRE n'avait pas dit ce que les deux écoles se partagent des instituteurs et de infirmiers. En septembre 2001, Les parents SEKE ont rencontré M THEO qui leur a promis d'inclure le calcul, la lecture et l'écriture dans le programme dans d'Harold qui sera rédigé conformément à la loi. Les Parents SEKE ont pris la résolution d'observer la nouvelle école pendant une année sans mot dire. Durant la première année, l'enfant rentrait avec des blessures de l'école sans que cela ne soit mentionné dans le journal de classe ni même expliqué. En juillet 2002 aucun programme individuel n'a été établi pour Harold ni aucun progrès pour son instruction. A la rentrée 2002 -2003, les parents SEKE ont prié l'école de Pommier de montrer le programme scolaire pour Harold et de veiller à la sécurité d'Harold au sein de l'école. L'école de Pommier comme l'avait fait auparavant l'école de CASTOR met de nouveau en avant la maigreur d'Harold. La nouveauté est que l'école de pommier ne dit pas que cette maigreur est due à une sous alimentation mais à une éventuelle maladie que négligeraient les parents ou que les parents ignoreraient. A cause de cela les parents n'emmèneraient pas Harold à l'Hôpital. Haut de ce cadre rubrique suivante Un clou de deux cm à l'oreille d'Harold Retour à la vue générale |
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J. Un clou de deux centimètre planté à l'oreille d'Harold et son doigt coupé par un couteau de cuisine à l'école sans aucune autorité liégeoise n'en ait été choqué ni même cherché à faire cesser ces injustes traitements. |
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Entre temps Harold rentrait à la maison avec des blessures de plus en plus importantes et désignaient les personnes qui lui faisaient ces blessures. L'école a traité Harold de menteur jusqu'à ce qu'un élève de l'école ait avoué avoir tranché le doigt d'Harold avec le coteau de cuisine à l'école. Un matin de septembre 2002, alors que l'enfant est parti en bonne santé à l'école, vers 11h00 le directeur de pommier M THEO a sonné au domicile familial en compagnie d'Harold. M THEO déclare que vers 10h00 ils ont remarqué le gonflement d'une oreille d'Harold c'est pourquoi il le reconduit à la maison. Sans faire entrer l'enfant dans la maison et en présence de M THEO une ambulance a été appelée pour conduire Harold aux urgences. Les médecins auscultent l'oreille de l'enfant et en retire un clou de deux centimètre environ qui lui a été planté à l'école. Tout le monde présent en était estomaqué. Harold désigne à nouveau celui qui avait fait cela. Avec ces preuves matérielles de la maltraitance d'Harold à l'école, le SAJ informé dit ne pouvoir rien faire quand la maltraitance provient de l'école. Haut de ce cadre rubrique suivante: Les parents traînés en justice Retour à la vue générale |
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K. Les parents continuent d'insister sur l'instruction d'Harold et sont traduits en justice. |
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A la mi-septembre 2002, nous sommes retournés voir le Dr Denis de CRE au sujet de l'instruction d'Harold et sur la possibilité de le faire sortir du réseau des écoles spéciales qui ne lui sert d'aucune utilité. Pendant la conversation, les parents parlent d'une école en FRANCE qu'ils ont vue à la télévision qui pourrait convenir à Harold. Dès que Mme DENIS a compris que le parent voulait voir ailleurs qu'en Belgique, elle s'énerva et déclara que " votre fils a un cancer mental généralisé " Les parents lui demandèrent de mettre ces affirmations par écrits. Elle refusa. L'après midi de ce même jour , Mme DENIS et l'école de Pommier saisissent d'urgence à nouveau le SAJ et Mme BEGONS , assistance sociale, est chargée de l'affaire.
Cette fois les Parents SEKE ne sont plus accusés de maltraitance éventuelle mais Ils pourraient ignorer une éventuelle maladie chez HAROLD et ne l'emmèneraient pas chez le médecin. Sans mener une quelconque enquête Mme BEGON saisi le parquet de la jeunesse et qui, à son tour, traduit Mme SEKE devant le juge de la jeunesse Mme KINET. Il est reproché au parent SEKE de ne pas emmener Harold à l'hôpital alors qu'il pourrait être malade.
Le balai des policiers recommença à nouveau au domicile familial rue fond des Tawes 147 4000 Liège. Maître Vincent Sauvage a été choisi par les parents SEKE pour étant que conseil. Au dire de ses confrères, c'est le meilleur avocat en matière de la jeunesse.
Haut de ce cadre rubrique suivante: Harold livré comme cobaye . Retour à la vue générale |
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L. Le juge KINET livre Harold pour servir de cobaye au Dr THIRI |
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Pendant l'audience, le juge KINET dit à Mme SEKE que le parquet l'accuse de ne pas emmener Harold à l'hôpital. Mme SEKE demande la parole et montre l'attestation du Docteur CHANTRAINE qui dit que Harold est bonté santé et qui mentionne le suivie médicale dont bénéficie Harold de sa part. En outre les résultats des précédents bilans de santé ont été montrés au juge. Ces preuves matérielles démontrent à suffisance que les parents SEKE emmènent Harold à l'hôpital et les accusations contre eux ne sont pas fondées du tout. Comme tous les procès concernant les parents SEKE, les juges belges ne tiennent pas compte des preuves matérielles apportées par les parents SEKE qui contredisent les accusations fallacieuses portées contre eux. En fait les juges belges prennent leur décision avant l'audience en concertation avec les accusateurs des parents SEKE, des accusations qui ne reposent sur aucun fait matériel. Le juge KINET réplique en disant à Mme SEKE : « Mme Vous ne roulez pas sur de l'or. La médecine a évolué. Dans l'intérêt d'Harold, il faut qu'il soit à nouveau hospitaliser pour chercher une éventuelle maladie à cause que la médecine a fait des progrès. Le coût des soins serait pris en charge par l'état. ». Le juge KINET a son tour à éluder le vrai problème de l'instruction et de la sécurité d'Harold à l'école malgré le certificat médical du retrait du Clou dans l'oreille d'Harold, clou lui ayant été planté à l'école. Le juge KINET décide de faire hospitaliser Harold,malgré le certificat médical du Dr CHANTRAINE qui certifie que Harold est en bonne santé, pour qu'il serve de cobaye au DR THIRI qui devait le rendre malade afin de permettre au juge KINET de parvenir à réaliser le complot contre nous. Haut de ce cadre rubrique suivante: Le juge KINET n'a pas appliqué la loi Retour à la vue générale |
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Le juge KINET, le SAJ et notre avocat maître SAUVAGE disent qu'ils ont adapté les lois pour faire bénéficier Harold des soins au frais de l'état. Or nous payons la mutuel pour les soins de santé et l'état n'a pas supporté quoique ce soit. Nous rappelons que le juge est là pour appliquer la loi et non pour l'adapter. L'ordonnance rendue par le juge KINET ne condamne pas les parents et est formulée en des termes génériques. Le juge KINET renvoie les décision définitives à l'audience qu'elle fixe autour du 18 décembre 2002, après qu'Harold ait été hospitalisé. En quoi consiste cette adaptation :
Le tribunal s'apprête à se fabriquer des fausses preuves : n'est ce pas scandaleux dans le pays qui se veut juge universel, un pays de l'union européenne? " état de droit ou état policier " Haut de ce cadre rubrique suivante: Le Dr THIRI se sert d'Harold comme cobaye Retour à la vue générale |
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N. Le Dr THIRI se sert d'Harold comme cobaye au service du juge. |
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A la clinique, le Dr THIRI supervise les expériences sur Harold. Les médecins ne disent rien aux parents et font directement leur rapport à M. DAVIN du SPJ. Alors que les parents ne sont pas condamnés mais les médecins se comportent à l'égard comme s'ils l'étaient. Curieusement c'est à nouveau la maigreur d'Harold qui est mis en avant. Une semaine après son hospitalisation Harold a pris quinze kilos. L'enfant respirait et marchait difficilement. Le Dr THIRI prétend que Harold a grossi naturellement à la suite d'une alimentation suivie. Ce qui va prouver que Harold est maigre parce qu'il est mal nourri par les parents et ils auraient ainsi une preuve pour condamner les parents et leur retirer Harold ainsi sera réglé le problème du manque d'instruction d'Harold. Elle dit que Harold aurait l'âge mental de 4 ans bien qu'il soit âgé de 171/2 ans demi. Elle a pratiqué des interventions chirurgicales sur Harold sans que rien le justifie et sans l'accord des parents , une mutilation volontaire. L'enfant était visiblement mal et continué à prendre du poids. Cela ne semblait inquiéter personne. Ils avaient déjà la soi disant preuve. Les parents très inquiètes cherchent rencontrer les différentes médecins individuellement. Un médecin qui travaille en même temps à la citadelle explique à Monsieur SEKE qu'ils ont fait six examens sur Harold et ces examens montrent que Harold n'assimile pas naturellement la graisse. Ce qui justifie sa maigreur et mais elle dit ne pas comprendre d'ou vient cette masse pondérale actuelle et informe les parents qu'un examen crucial a été annulé parce que Harold s'y sériait opposé violement. Le Dr THIRI surgit brusquement, interrompt le dialogue avec ce médecin et tente de nier la réalité des examens et demande aux parents de ne s'adresser qu'à elle à l'avenir. Haut de ce cadre rubrique suivante: La machination découverte Retour à la vue générale |
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Nous sommes à deux jours de l'audience et le SPJ a sa soi disant preuve pour duper les parents. M. DAVIN et l'hôpital organise une réunion dit de coordination avec les parents l'après midi de la veille du procès. Le matin cette journée, les parents SEKE conduisent Harold pour passer l'examen annulé sans que Mme THIRI et ses lieutenants soient au courant. Il s'agissait d'un examen musculaire pour voir si Harold pouvait naturellement développer des muscles. La doctoresse flamande accepte de faire l'examen devant les parents. Les machinent montrent indubitablement que Harold ne peut grossir car son corps ne sait pas développer naturellement des muscles. Elle s'exclame en disant d'où vient cette masse pondérale. Elle examine à nouveau l'enfant et dit aux parents "votre fils peut mourir avec ces traitements qui n'est pas autorisé". Car il est impossible que Harold grossisse naturelle. On mettait le doigt sur l'enfant et le doigt s'enfonçait de 4 à 5 centimètres. Elle fait son rapport. Sortis de là, les parents vont voir directement Mme THIRI et lui disent qu'ils viennent d'assister à cet examen et qu'Harold ne peut grossir. Les parents lui demandent d'expliquer d'où viennent les poids qu'Harold a pris et de dire quelle maladie a été trouvée chez Harold deux mois d'hospitalisation. |
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Coincée, le Dr THIRI s'énerva et déclara "Nous ne savons même pas si Harold va supporter ce traitement." Quand les parents lui demande de quel traitement s'agit il et pour quelle maladie ? elle répondra " Pour des parents érudits comme vous, vous ne savez pas qu'Harold à un esprit ". Les parents lui disent, vous soignez l'esprit maintenant Elle s'enfuit et s'enferma dans son bureau. N'est ce pas étonnant que c'est à l'esprit d'Harold que le juge et les médecins s'intéressent Haut de ce cadre rubrique suivante: le complot échoue Retour à la vue générale |
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L'après midi à la réunion de coordination prévue, Monsieur DAVIN du SPJ avait déjà rédigé son rapport dans lequel il disait comment se fait il qu'Harold ait pris plus de quinze kilos à l'hôpital sur deux mois de temps avec seulement une alimentation saine et mettait les parents en cause. Il avait prévue de proposer au juge de placer Harold en institution loin de ses parents qui lui priveraient de nourriture. Tout est déjà planifié pour piéger les parents. Les parents lui racontaient que Harold ne peut grossir naturellement et cela a été prouvé de manière incontestable par des examens médicaux auxquels ils ont eux même assisté. Monsieur DAVIN était confondue et la réunion était vidée de sa substance. Le seul examen où ont assisté les parents SEKE leur ont permis de démasquer la machination contre eux et d'échapper à la condamnation à la suite de preuve fabriquer de toute pièce par l'équipe du Dr THIRI qui a mis en péril la vie d'Harold. Mme THIRI a pratiqué une intervention chirurgicale sur Harold malgré que les parents s'y fussent opposés. Il est clair que l'école, le SAJ, le SPJ, le CRE, le tribunal de la jeunesse ont envoyé Harold à la clinique pour qu'ont pratique sur lui des traitements expérimentaux pour qu'il grossisse et non pour chercher des éventuelles maladies chez Harold. Ils se seraient ainsi fabrique une preuve matérielle contre les parents dans le but aussi de protéger les écoles et le CRE pour ne pas avoir instruit Harold. Voila une de face de la justice belge. Pendant l'audience, le juge KINET en complicité avec le parquet menace de mettre à Harold dans le statut de minorité prolongée et où la garde serait retiré aux parents. Mme SEKE lui demande quand Harold sortira de l'hôpital elle lui de voir cela à avec DAVIN. Le juge KINET n'a même plus rendu son fameux jugement définitif. Haut de ce cadre Rubrique suivante ultime tentative de garder Harold à l'Hôpital Retour à la vue générale |
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Q. Malgré l'échec, une ultime tentative de garder Harold à l'Hôpital |
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En effet, le 7 janvier 2003 Harold aura 18 ans. Ils voulaient garder Harold à l'Hôpital jusqu'à cette date pour manipuler Harold de façon à refuser de venir avec leurs parents. Ayant 18 ans et donc majeur les parents n'auront rien à lui dire. Il s'agit du même Harold dont l'équipe du Dr THIRI a déterminé l'âge mental à 4 ans. Monsieur DAVIN devient injoignable. Harold est resté jusqu'à ses dix huit ans à l'hôpital alors qu'il n'est pas du tout malade. Quand les parents sont venus le chercher, le Dr THIRI, comme ils avaient planifié, dit Harold à dix huit ans et il doit choisir s'il veut retourner avec vous ou rester à la clinique de son plein gré. Elle pose la question à Harold. Harold dit qu'il veut rentrer avec papa et maman. Mécontent Mme THIRI prend Harold et va avec au restaurant et le laisse là bas. Elle revient vers les parents pour leur dire que Harold mange et doit à nouveau choisir. Harold revient et choisi de nouveau de rentrer avec les parents. Mme THIRI excédait dira aux parents nous vous avons berné. C'est ainsi qu'Harold est sorti de l'hôpital. L'avocat des parents étaient au courant de ce traitement expérimental et n'a rien dit. Dans un moment d'irritation, il a demandé aux parents de comprendre que les médecins aient pratiqué ces traitements expérimentaux car il voulait percer le mystère Harold ! Harold a dix huit et est analphabète alors qu'il a fréquenté l'école depuis l'âge de Huit ans. En outre il a été fait cobaye en médecine dans le seul but de fabriquer en vain des preuves contre les parents. C'est ainsi la justice belge. Le parquet et la police menacent de mettre Harold sous le statut de minorité prolongé pour empêcher le parent d'instruire Harold. Depuis la sortie d'Harold de l'hôpital, les parents rassemblent de preuves pour intenter une action contre les écoles, le Dr Denis, le juge KINET et le Dr THIRI. Harold accompagnait l'un ses parents à leur magasin où il apprenait à assister les parents dans le magasin. Cet enfant a été maltraité avec la complicité du tribunal de jeunesse de Liège et des ses auxiliaires ( SAJ et SPJ) par lés écoles et les médecins de la clinique d'Espérance de Montégné dans le seul but de fabriquer en vain des faux preuves contre les parents. Le 03/04/2004, les autorités belges ont enlevé Harold de force à ses parents pour empêcher ces derniers de dénoncer leur atrocité sur Harold (cobaye en médecine notamment) et tente de par des moyens frauduleux de leurs coller l'étiquette de mauvais parents pour les discréditer. Leurs consciences les accusent jour après jour et ils n'auront jamais de paix tant qu'ils mentiront. Actuellement Harold est à nouveau entre les mains de ses bourreaux . Que des voix se lèvent pour le triomphe de la justice. |
La volonté des autorités belges de détruire la maison du Kwanga la petite entreprise familiale.